Peu importe, j'y suis arrivée, et c'est non sans fierté que je vais vous livrer ma critique de ce roman, pour lequel j'avais eu un vif attrait en découvrant les commentaires de la fnac, et surtout celui de Begonia, libraire à la fnac la défense :))) (Source Fnac.com).
Tout d'abord, un petit aperçu des promesses qu'offraient la 4ème de couv :
"Au milieu des années 1970, à New York, deux couples d’artistes ont partagé les rêves de liberté de l’époque, ils ont fait de l’art et de la création le ciment d’une amitié qu’ils voulaient éternelle et, quand ils ont fondé leur famille, se sont installés dans des appartements voisins. Rien n’a pu les préparer aux coups du destin qui vont les frapper et infléchir radicalement le cours de leurs vies… Siri Hustvedt convie ici à un voyage à travers les régions inquiétantes de l’âme : bouleversant, ambigu, vertigineux, Tout ce que j’aimais est le roman d’une génération coupable d’innocence qui se retrouve, vingt ans plus tard, au bout de son beau rêve."
C'est en résumé l'histoire de 2 familles, 2 couples et 2 enfants, qui s'aiment, s'épaulent, se trahissent, traversent la vie main dans la main... Ca a l'air bien hein ?
Hé bien moi pour tout vous dire, je crois que je suis un peu passée à côté... Certes, c'est beau, poétique, l'écriture est juste, précise, les personnages complexes et travaillées, les situations intenses et l'histoire, c'est l'histoire de la vie racontée avec justesse, dans ses joies et ses peines. Néanmoins (et je reprécise au passage que c'est mon opinion personnelle pour ne pas heurter ceux qui ne sont pas de mon avis), c'est d'un ennuyeux !!!!!! Des descriptions d'oeuvres d'art qui durent des pages entières, un manque de rythme criant les 200 premières pages, et une fin sans réel dénouement... Pour la 1ère fois, j'ai cru que j'allais abandonner avant la fin du livre, bien qu'à partir d'à peu près la moitié, l'histoire devient plus intéressante puisque les personnages principaux commencent à souffrir et ça malheureusement, c'est moins plat que le bonheur en littérature.
Au global, ça reste décevant, d'autant que le livre vaut 9€ et qu'il fait 600 pages. Fan des romans français du XIXème type Flaubert ou Zola, qui sont pourtant lourds en descriptions, j'ai été bluffé de voir qu'un livre très construit pouvait m'ennuyer. Ou alors j'ai vieilli :) !
Voilà, maintenant j'attaque "Vous descendez de Nick Hornby", plus divertissant j'espère...
Goupette - 9/20
Tout d'abord, un petit aperçu des promesses qu'offraient la 4ème de couv :
"Au milieu des années 1970, à New York, deux couples d’artistes ont partagé les rêves de liberté de l’époque, ils ont fait de l’art et de la création le ciment d’une amitié qu’ils voulaient éternelle et, quand ils ont fondé leur famille, se sont installés dans des appartements voisins. Rien n’a pu les préparer aux coups du destin qui vont les frapper et infléchir radicalement le cours de leurs vies… Siri Hustvedt convie ici à un voyage à travers les régions inquiétantes de l’âme : bouleversant, ambigu, vertigineux, Tout ce que j’aimais est le roman d’une génération coupable d’innocence qui se retrouve, vingt ans plus tard, au bout de son beau rêve."
C'est en résumé l'histoire de 2 familles, 2 couples et 2 enfants, qui s'aiment, s'épaulent, se trahissent, traversent la vie main dans la main... Ca a l'air bien hein ?
Hé bien moi pour tout vous dire, je crois que je suis un peu passée à côté... Certes, c'est beau, poétique, l'écriture est juste, précise, les personnages complexes et travaillées, les situations intenses et l'histoire, c'est l'histoire de la vie racontée avec justesse, dans ses joies et ses peines. Néanmoins (et je reprécise au passage que c'est mon opinion personnelle pour ne pas heurter ceux qui ne sont pas de mon avis), c'est d'un ennuyeux !!!!!! Des descriptions d'oeuvres d'art qui durent des pages entières, un manque de rythme criant les 200 premières pages, et une fin sans réel dénouement... Pour la 1ère fois, j'ai cru que j'allais abandonner avant la fin du livre, bien qu'à partir d'à peu près la moitié, l'histoire devient plus intéressante puisque les personnages principaux commencent à souffrir et ça malheureusement, c'est moins plat que le bonheur en littérature.
Au global, ça reste décevant, d'autant que le livre vaut 9€ et qu'il fait 600 pages. Fan des romans français du XIXème type Flaubert ou Zola, qui sont pourtant lourds en descriptions, j'ai été bluffé de voir qu'un livre très construit pouvait m'ennuyer. Ou alors j'ai vieilli :) !
Voilà, maintenant j'attaque "Vous descendez de Nick Hornby", plus divertissant j'espère...
Goupette - 9/20
6 commentaires:
Une question me viens à l'esprit.
Comment peut on lire 600 pages d'un livre auquel on accroche pas.
Fan de littérature, il m'est déjà arrivé d'abandonner de nombreux livres, car la lecture doit rester un loisir.
Donc félicitation pour cette bataille remporté contre l'ennui littéraire.
Pour le livre, je ne suis vraiment pas préssé de jeter mon dévolu dessus. Car j'aime être pris par un livre et les descriptions, c'est du bouche page pour moi.
Sinon, très bien le blog.
Dommage que certaines catégories soit sous exploité.
Ah la la Michèle, j'avoue que j'ai du mal à juger des choses avant d'en avoir fait le tour... Je n'arrive pas à quitter la salle avant la fin d'un film, et ben pour les livres c'est pareil.
Moi, je suis plutôt du genre, à juger avant d'avoir vu. Du coup au ciné, je paye ma place, puis je m'en vais. Et pour les bouquins, c'est pareil...:o)
Sinon "Catégories sous exploitée", qu'aimerais tu que l'on développe chère Miche...
Et bien, j'ai pris plaisir à lire l'article sur l'ile Maurice. Passionnée également de voyage, j'aime faire le tour des sites de voyages. Mais bon, je me doute que vous ne pouvez pas partir tous les jours. Les couts de gueules aussi, j'ai apprécié, surtout le dernier. D'ailleurs, il y a t'il eu des suites : Remboursement ?
Mais la aussi, je suppose que vous ne pouvez pas avoir de coup de gueule tous les jours :)
Hé bien Miche, puisque vous le demandez, nous allons vous excaucer !!! Dans 15 jours, vous aurez une toute belle critique sur Cuba de votre dévouée globe trotteuse :) !
En ce qui concerne le coup de gueule, sache qu'après leur avoir envoyé une lettre sérieusement corsée, il m'en renvoyé une lettre en me disant que passé le tourniquet restait un délit, que même à 23h30, j'aurai du chercher un agent d'accueil pour qu'il vérifie mon ticket démagnétisé. Cependant, il m'ont fait un chèque de 20 euro en tant que geste commercial. En attendant, il m'en sont encore redevable de 25, mais bon, je crois que ça sert à rien d'insister...
Enregistrer un commentaire