lundi 29 septembre 2008

Titre de la semaine


Cette semaine, un groupe assez inégal, capable du bon comme du moins bon. Mais qui reste appréciable malgré tous : Tue Loup. Aujourd'hui à l'écoute : "Le plan de Rome" du dernier album 'Le lac de Fisch". Bonne écoute (et si vous aimez, bonne achat).

mardi 23 septembre 2008

Titre de la semaine


Avec un peu de retard (qui à dit encore). Le titre de la semaine. Aujourd'hui, c'est Mansfield Tya (pas facile à écrire sans faute) que je vous présente. Pour la plupart, ça ne vous dira pas grand chose, mais bientôt, je ferais une petite critique de cet album, ma foi, fort sympatique.


Chuck

Retour de la critique série avec une très bonne surprise que j'ai eu la chance de voir en début d'année : Chuck. Véritable surprise pour moi, Chuck réussi à plaire avec une série qui au premier abord de paye pas de mine. Mais tout d'abord, Chuck, Kezaco ?
Employé dans une boutique de matériel informatique, Chuck Bartowski est propulsé du jour au lendemain dans le monde de l'espionnage, sa vie ennuyeuse laissant la place aux émotions fortes. Son cerveau renfermant, bien malgré lui, une base de données contenant des secrets gouvernementaux, la NSA et la CIA, soucieuses de protéger ces informations, envoient les agents John Casey et Sarah Walker pour veiller sur sa sécurité. Les informations qu'il détient nécessitent sa participation à de périlleuses missions, le confrontant à de multiples dangers. Tout ça sous le nez de son meilleur ami, Morgan, de sa soeur, Ellie, et de ses collègues de travail, qui ne se doutent de rien...
Bon je répète, le scénario au premier abord ne casse pas trois patte à un canard, mais voila, nous avons ici l'amalgame de l'originalité, de l'action, de l'humour et de la romance. Les personnages sont attachant. Le fil rouge de la série nous tiens en haleine. On ne s'ennuie presque jamais. Les rebondissements sont nombreux et même sans, les épisodes individuels se suffisent à eux même.
On se marre et on participe aisément à l'action de cette série drolement bien mené. Même l'histoire d'amour nous tiens en haleine, c'est dire. Une véritable petite surprise qui saura vous mener par le bout du nez tout au long de ses 13 épisodes qui composent la première saison. Donc je me répète, Chuck est une exellente série, peut être la meilleure que j'ai pu voir cette année.

A noter que la nouvelle saison débute sur la NBC à compter du 29 septembre et on attend vivement une traduction.
Alors, si ce n'est déjà fait, jetez vous sur cette série (en VOSTF s'il vous plait)

Ma note : 16,5/20

lundi 15 septembre 2008

Max la menace


Ha, Max la menace. Je me rappel encore de la série qui passait sur la cinq (ahhhh !!! la cinq, quelle merveilleuse chaîne). J'avoue qu'a l'époque, je ne comprenais pas toutes les subtilités de la série, mais la nostalgie me poussant au train, je suis allez voir cette adaptation cinématographique, même si je l'avoue, je ne suis pas un fan inconditionnel de Steve Carell. Le film commence, la musique d'intro déjà me titille les méninges et me rappel de bons souvenirs (ahhhh !!! la cinq !!!). L'histoire : Un administratif maladroit élu agent secret. Pas le sénario du siècle, mais tant pis, ce n'est pas ce que je suis venu voir. On retrouve dans le film certains éléments qui on fait la renommée de Max la menace : La cabine téléphonique, la chaussure téléphone et quelques menus gadgets. De plus certains comédiens qui me sont fort sympathique font une courte apparition comme Bill Muray. Ce qui me fait dire (ahhh !!! La cinq). Bref, qu'en est il du film. Et bien ce que l'on pouvait y attendre. Des gags, un peu d'action, un Steve Carell qui en fait pas des caisses comme dans Ewan tout puissant, qui rappelons le, est une daube sans nom (quoi qu'elle à un nom, vu que c'est une daube...A méditer et Ahhh !!!! La cinq !!!). On sait ce que l'on va voir donc, on ne peut pas être totalement déçu. Le film n'est pas hilarant, mais prête régulièrement à sourire. Le rythme est soutenu, mais si vous adhérez pas aux gags de Steve Carell, vous ne tarderez pas à sombrer dans les abîmes du sommeil comme la personne qui m'accompagnait.
Bref, un film sans prétention qui décevra peut être les aficionados de la série, mais qui fera passer un bon moment aux autres. Un film sympa, sans plus.

Ma note : 12/20

Musique de la semaine




Avec quelques heures de retard (pardon pompotte), la chanson de la semaine. Un titre bien rafraichissant qui me rappel les vacances. Snif...


lundi 8 septembre 2008

Jeux PC - Space Siege

Il existe des jeux qui se démarque pour pas grand chose. Space Siege en fait partie, car il avait réussi à susiter mon intéret par le simple fait que nous avions le droit à un RPG PC situé dans un univers assez atypique à savoir un monde de science fiction et de vaisseaux spatiaux en tout genre. Du moins, voila comment il me l'avait été vendu. Fini, les univers d'heroic fantasy médieval, vive l'espace. Cependant, il m'a fallu très peu de temps pour déchanter. J'instal le jeu et me pose souris en main et clavier à l'autre pret à en découdre. Première chose désagréable qui en rebutera plus d'un : la maniabilité. Ici, pas de controle au clavier, on dirige quasiment tout à la souris. On bouge, on tire, pas évident du tout. Même pour moi qui est terminé ce jeu, je n'ais jamais réussi à m'y faire. Dommage. Deuxio, même si au début, le scénario semble nous proposer quelque chose de consistant, il devient vite linéaire et on déambule à travers des couloirs en zigouillant tout ce qui bouge. Bien sur, ça défoule (quoi, qu'avec cette maniabilité), mais bon, on finit vite par s'ennuyer. Niveau graphisme, c'est pas bizance, d'autant que les couloirs son souvent répétitif. L'aspect RPG est juste passable. Upgrader ses armes, c'est marrant, mais bon, j'ai fini le jeu en utilisant quasiment toujours la même arme. Au final, le jeu s'apparente plutôt à un hack & slash qu'a un rpg. Regrétable. Pour finir, il reste le mode 2 joueurs que je n'ai malheureusemnt pas pu tester. Mais d'après certaines connaissances, il serait injouable sur un pc portable de bonne qualité donc à voir.

Au final, Space Siege, laisse un arrière gout de bof entre mes doigts et s'en tire tout juste avec une moyenne honorable.

Ma note : 11/20


A venir :
Critique série : Chuck

Musique de la semaine


Cette semaine, un autre de nos chanteurs français pas assez reconnu : Bertrand Betsh. Chanteur que je suis très heureux de vous présenter, car, moi, j'aime beaucoup. Alors, comme d'hab, si vous aimez, courrez acheter l'album.

vendredi 5 septembre 2008

Shaolin Basket


Fan de Stephen Chow, j'avais littéralement adoré Shaoling Soccer. Attention, je parle là de la version originale, pas de la version charcutée qui était arrivé dans nos salles de cinéma. C'est alors, plein d'entrain que je sui sallez voir Shaolin Basket (qui s'appelait initialement Kung fu Dunk, mais qui on ne sait par quel mystère marketing à changer de nom en arrivant chez nous). Je m'attendant à une version "basket" de shaoling soccer et ayant été séduit par la bande annonce, je me réjouissait de voir un film atypique comme trop peu sorte dans nos salles. Mais voilà, n'est pas Stephen Chow qui veut et c'est très rapidement que la débilité du film déçoit. Certes, le tout est assez bien réalisé, ça reste toujours aussi impressionnant, mais voilà bon. Là ou S.S s'avait nous divertir, S.B nous lasse avec un humour pataux. L'accroche ne se fait pas et on comprend très vite que l'on ne va regarder le film que pour les effets speciaux qui le parsèment. Bref, une grande déception tant on attendait mieux.

Ma note : 11/20
Plus d'infos sur ce film


A venir : Critique jeu : Space Siege

mardi 2 septembre 2008

Musique de la semaine

Cette semaine, c'est Emily Loizeau qui est à l'honneur avec "Je ne sais pas choisir"
Comme d'habitude, si vous aimez l'album, achetez le, si vous n'aimez pas, attendez la semaine prochaine pour voir si j'ai meilleur gout...:o)

PSP : Riviera - La terre promise

Salut à tous ex Juilletiste, ex Aoutien et ex pasdevacancesdutoutien...
Après un bref, repos, me revoilou parmi vous pour vous parler d'un petit jeu PSP que j'ai pu tester pour vous avant les vacances. Un ptit RPG traduit en français (ce qui est assez rare pour être souligné) : Riviera.
Passons l'historique de ce jeu (ex jeu GBA) pour aller directement à l'essentiel.
A l'époque, Crisis Core n'étant pas sortie et ayant marre des jeux non traduit, j'avais jeté mon dévolu sur Riviera. Les artworks du jeu avaient l'air fort sympathiques et c'est fort justement que je me disait que le nommé Keil (héro du jeu. Je sais, comme moi, c'est bizarre, parce que c'est moi qui lui est donné son nom). Je disais donc que Keil allait partager mes moments de solitude aux toilettes. Je prend mon stock le rouleau Pécul et j'annonce haut et fort la couleur. Qu'on ne me dérange plus, je vais sauver le monde des elfes. Je m'enferme à clef. A nous deux.
Premier constat, c'est pas si beau que ça. Certes, pendant les combats, lorsque l'on emploi les grosses attaques, on a un artwork sympa, mais c'est tout. Deuxième constatation, c'est linéaire à mourir. Aucune liberté. On ne va pas ou on veut et on à souvent droit à un choix qui se limite à gauche ou à droite. L'histoire est assez morne et au final, je me fais chier (sans jeu de mot...:o)
Je tiens bon. Par contre, ce qui ne m'accroche pas du tout, c'est le système dévolution. Pas de level up, pas niveau pour les combattants. Juste un système d'évolution des armes : Plus on utilise une arme, plus elle devient performante. En contrepartie, elle s'use à chaque utilisation, ce qui pousse à en changer régulièrement. Étant donné qu'on ne peux pas en acheter, il faut espérer tomber sur un coffre qui en propose une. Un peu fastidieux et pas très immersif.
Alors la question qu'on est en droit de se poser, c'est pourquoi, je suis aller au bout. Et ben je sais pas. Peut être l'histoire un peu simpliste ne me demandais pas trop de réflexion. Peut être ce jeu faisait-il bien office de bouche trou. Ou, peut être avais je mangé trop épicé. Tout ça pour dire, que si vous voulez investir dans un rpg, même old school, ne vous attardez pas trop sur Riviera au risque de vous ennuyez un peu. Je terminerai juste par une question que se posait un des testeurs dont j'ai lu la critique il y a quelques mois sur le net. Pourquoi avoir fait une adaptation de ce jeu GBA sur PSP, si c'était pour y apporter si peu d'innovation. Mystère.

Ma note : 10/20




A venir :
Critique : Kung-fu Basket & Space Siege