vendredi 12 décembre 2008

Le transporteur 3


Dans la série : "T'as rien d'autre à voir", je demande le transporteur. Dans l'optique de voir un film entre amis sans prise de tête, nous nous sommes attelé dans notre salle obscure pour visionner le dernier Besson. Bon, bien sur, nous nous attendions pas à un grand film, mais juste à un défouloire bourré de testostérone à voir entre quéquette virile. Un film d'action qui permettrait de laisser son cerveau à l'entrée et de croiser d'autre décérébraux comme nous. Pour le scénario du film, rien de surprenant, un transporteur qui doit ramener une nana à bon port, mais à la différence des autres films du même nom, notre pauvre Jason Statham se voit attribuer un bracelet qui explose s'il se sépare trop de son véhicule. On à donc droit comme on pouvait s'y attendre à quelques belles scènes de castagnes (ma foi, bien chorégraphié) et... c'est tout. Une histoire lourdaude, mais le pire reste la prestation de Natalya Rudakova (même son nom est chiant à écrire). Une histoire d'amour pesante qui handicape le film à tout va. Chaque fois qu'elle ouvre la bouche, c'est un calvaire pour nos petites oreilles en attente de "paf" "boum" et autre onomatopée de coup distribué par notre grand chauve aux muscles saillants (non, je ne bave pas). Résistez à l'envie de pouffer devant les débats culinaires de nos deux protagonistes qui dure des lustres. Bref, un bon point pour le chorégraphe des scènes de combat, et tout le reste en moins pour le film qui se tape en plus le luxe d'être totalement incohérent et pourtant super prévisible. En effet, il fait partie de ces films dont l'on devine ce qu'il va se passer, mais l'on trouve cela tellement débile qu'on croise les doigts pour qu'il ne fasse pas ça. Et bien, vous devinez quoi ??? Il le fait !!! Ahhh, la scène de la voiture sous l'eau !!! Anthologique, je vous dis.
Bref, un bon nanar à éviter. Et oui, jsuis dur, mais comme disait Ciryl Lignac : "La vie, c'est pas du gateau".

Ma note : 06/20
Note du Capten : 12/20
Note de Darkarno : 06/20
Note de Drawman : 12/20

Note final : 09/20

Livre : Les fabuleuses aventures d'un indien malchanceux qui devint milliardaire


Après avoir laissé pendant au moins 1 an mon cerveau en jachère, j'ai repris la lecture... Inutile de vous dire qu'après tout ce temps, j'avais besoin d'un truc cool qui se lit sans prise de tête... J'ai donc pris conseil auprès de l'ami Keil et me voilà aujourd'hui prête à vous livrer ma critique de ce petit livre gentil et coloré au nom à rallonge...

Le Pitch :
"Quand le jeune Ram Mohammad Thomas devient le grand vainqueur de «Qui veut gagner un milliard de roupies ?», la production soupçonne immédiatement une tricherie. Comment un serveur de dix-huit ans, pauvre et inculte, serait-il assez malin pour répondre à treize questions pernicieuses ? Accusé d'escroquerie, sommé de s'expliquer, Thomas replonge alors dans l'histoire de sa vie... Car ces réponses, il ne les a pas apprises dans les livres, mais au hasard de ses aventures mouvementées ! Du prêtre louche qui laisse trop volontiers venir à lui les petits enfants à la capricieuse diva de Bollywood, des jeunes mendiants des bidonvilles de Bombay aux touristes fortunés du Taj Mahal, au fil de ses rencontres, le jeune homme va apprendre que la fortune sourit aux audacieux... "

Voilà un pitch qui résume très bien le livre (et oui, c'est pas toujours le cas alors ça fait plaisir de le souligner). Au fil des pages, on revit les expériences de ce jeune indien, bonnes ou mauvaises, on se réjouit ou s'effraie de ces connaissances, on vibre avec lui... Une fois commencé, on a hâte de découvrir les expériences suivantes et on dévore le livre en quelques jours seulement... On y découvre aussi l'Inde autrement, ça fait voyager un peu...

Un livre original, drôle, émouvant et rythmé, qui fera aimer la littérature à tous ceux qui craignent de s'ennuyer en lisant...

Goupette - 14/20

mercredi 3 décembre 2008

Agathe Cléry


Salut les zami(e)s. Alors aujourd'hui, c'est le coeur plein de courage que je viens vous faire la critique du dernier film de Valérie Lemercier. Du courage, pourquoi me direz vous ? Et bien laissez moi vous contez l'objet de mes craintes. Il y a, a peu près une semaine de cela, j'étais avachi sur le canapé en compagnie de Drawman et Goupette lorsqu'à la télé, ils ont passé la bande annonce de ce film. D'abord circonspet, je me suis ensuite marré et j'ai gueulé, fière comme une banane en rute : "Mouaha, c'est de la m...., j'irai jamais voir cette daaaaaauuuuuuubbbbbbbeeeeeee !!!!! Mouahahaha, Mouahahahahahahahahahaaaaaa !!!!!"
Là dessus, Draw et Goupette, se sont retourné vers moi et m'on dit : "Que de la bouge. On peut pas faire confiance à un gars qui est allez voir, le renard et l'enfant..."
Je l'ai ai trouvé , normalement méchant, mais je ne leur ai pas porté d'importance, me contentant des les défigurer d'un regard noir et de marmonner dans ma barbe, des rites sataniques pour qu'ils est tout les deux de l'herpesse aux fesses le lendemain matin.
Ce soir quand, je suis rentré d'une journée harassante et que Keilounette est venu me voir, le regard vicieux, je savais que ça sentait le paté périmé. Quant elle m'a fait : "Et si on allait voir un film mon poussinooouuuuu", je me suis dit qu'il y avait une couille dans le potage. Et quand elle m'a dit qu'on devait allez voir Agathe Cléry, je ne me suis pas démonté, et je lui ai dit ses quatre vérités : "Il est hors de question que j'aille voir ce truc" (Ouai, ouai, clap, clap de la foule masculine). Après une paire de baffe et des larmes, je suis partie la queue entre les jambes voir ce film. (C'est qu'elle frappe fort). Et me voila là, ce soir devant vous pour y faire ma petite critique. Bon Agathe Cléry, c'est quoi ? Ben c'est l'histoire d'une femme moderne, bosseuse, qui a les dents longues, que ses collègues déteste et qui de plus est singulièrement raciste. Un jour eelle apprends qu'elle est atteinte d'une maladie, qui l'a transforme petit à petit en femme noire. Sa vie va changer, et elle va se retrouver du jour au lendemain de l'autre coté de la barrière, du coté des gens qu'elle detestait il y a encore peu.
Bon alors autant vous le dire de suite, ce film est stéréotypé à fond. Les blancs sont raciste, les noirs sont racistes, les flics sont raciste, les employeurs sont raciste, kiki le chien de madame Grimbert est raciste (même s'il joue pas dans ce film, il est quand même raciste). Bref, le monde il est pourri. L'aspect comédie musicale heurte un peu au début. On est partagé entre la honte et une certaine conception de l'originalité. Certains chants sont lancé de façon un peu sèche sans forcément de cohérence. On a parfois l'impression que les acteurs s'adapte à la chanson et pas le contraire. L'histoire est original avec une petite moralité à la fin (qui, je le répète, se noie quand même dans un flot de stéréotype).

Bref, j'ai tenté de faire cette critique dans l'optique que je pouvais apprécier ce genre de film. Et même si ce n'est pas forcément le cas, je me trouve obligé de saluer l'originalité du film et la prise de risque des réalisateurs.

Ma note : 11/20

lundi 1 décembre 2008

Film : Two Lovers

Oyez oyez, non ce blog n'est pas mort !!! Bien au contraire, il prépare 1000 critiques en cadeau pour Noël... Soyez fidèles et vous aurez bientôt une info plus souvent mise à jour mais toujours aussi captivante !

Je m'en vais donc vous livrer mes impressions sur "Two Lovers" que j'ai vu ce week end. Et pour ceux qui ne sauraient pas de quoi il s'agit, voici le piiiiiiiiiiicth :
"New York. Leonard hésite entre suivre son destin et épouser Sandra, la femme que ses parents lui ont choisi ou se rebeller et écouter ses sentiments pour sa nouvelle voisine, Michelle, belle et volage, dont il est tombé éperdument amoureux. Entre la raison et l'instinct, il va devoir faire le plus difficile des choix..."

Bateau me direz vous ? L'histoire classique d'un gars qui doit choisir entre la passion et la raison, entre le feu et la glace blabla blabla, un film romantique de base reservé aux gonzesses... C'est ce que je me suis dit aussi la première fois que j'ai vu la bande annonce et je l'ai rangé dans mon dossier "à voir peut être un jour en DVD". Et puis les jours ont passé et j'ai été submergé de critiques positives sur ce film : premiere, public (un mag de référence pour les critiques ciné :)), le grand journal, cinesix, 20min, cinélive... Tous les médias semblaient être unanimes sur le fait que ce film révolutionnait le film d'émotion, qu'il était bouleversant, magnifique, sublime etc... Incroyablement dithyrambique, complètement unbelibbuble !
Ma curiosité piquée, je n'ai pas pu résister et j'ai filé dans une salle obscure bien bobo voir cette merveille du 7ème art pour me faire ma propre opinion !!!
Bon beeeeeeeeen (vous ne tenez plus, vous frétillez sur votre chaise de savoir ce que j'en pense, vous devenez tout bleu d'excitation et d'impatience, vous... bon ok j'arrête !), ben franchement j'ai pas compris... pas compris pourquoi tant de battage, pas compris pourquoi tant d'émotion, de bouleversation, autour d'un film ultra classique, un poil lent, avec des acteurs franchement pas topissime... Ok on est un peu attendri par la souffrance de Joaquim Phoenix quand l'histoire ne tourne pas comme il veut, mais pas plus que ça... Moi qui ait la larme facile, je n'ai même pas mouillé le coin de mon oeil :)
La chute est prévisible, la fin pathétique et immorale, bof bof et rebof !!! Peut être ai je loupé quelque chose n'ayant pas vu les précédents films de James Gray, taxés eux aussi de chefs d'oeuvres... Je me retrouve perplexe devant tant de compliments alors que le film ne m'inspire rien du tout...
Pour moi un ovni du cinéma romantique, qui ne dépasse pas 9/20...

lundi 24 novembre 2008

Nous be back...


Oyé, oyé. Le manque de temps (en ce moment, c'est à peine si j'ai le temps de péter si je ne l'ai pas planifié sur mon agenda), font que le blog tourne un peu à la vitesse d'un escargot frappé de plein fouet par une arthrite fanatique. Mais ne pleurez pas (oui, toi au fond, je t'ai vu). Nous reviendons bientôt. Et oui, je parle comme je veux, vive le reviendage et à bientôt.

vendredi 31 octobre 2008

Film : Tonnerre sous les tropiques


Me revoici me revoilà ! Inutile de faire durer le suspense je viens aujourd'hui vous faire la critique d'un film susceptible d'être classé culte !

Piiiiiiiiiiittttttttttttcccccccchhhhhhhhhh :
"Un casting d'enfer pour un voyage... au bout de l'enfer ! En tête d'affiche : Tugg Speedman, la star du film d'action, en chute libre depuis ses trois derniers navets. A ses côtés : Jeff Portnoy, spécialiste des comédies (très) bas de gamme, avide de prouver ses qualités de comédien ; Kirk Lazarus, acteur "Méthode" multi-recompensé et 100 % givré ; Chino, superstar pop et fan d'Al Pacino ; et Kevin Sandusky, le fringant petit jeune tout heureux de faire partie de la bande. Cinq egos surdimensionnés au service du "plus grand film de guerre de tous les temps". Sur le papier, ça se tient (ou presque), mais sur le tournage tout dérape : les caprices des stars et l'incapacité du réalisateur, Damien Cockburn, font grimper les frais à une allure vertigineuse, au point que le studio décide de tout arrêter... C'est alors que Damien a l'idée "géniale" d'entraîner sa petite troupe au coeur du Triangle d'Or pour une expérience de "cinéma-vérité" d'un genre inédit. Mortel..."

Ouais ça a l'air cool hein ? Si on vous dit que dedans le film y a Ben Stiller trop drôle, Robert Downey Jr fantastique, Tom Cruise méconnaissable et excellentissime et Jack Black (moi j'aime pas mais ça peut faire plaisir à certains) c'est carrément top...

C'est vraiment drôle, ça passe hyper vite, les effets spéciaux sont cool, c'est rythmé, lourd et 1000e degrés comme on aime. A mi chemin entre le film d'action et la comédie, ce film réussit haut la main le pari de nous faire rire et de nous divertir grâce à des blagues toutes pourraves et beaucoup d'autodérision, tordant !

Complètement barré et réjouissant, allez-y vite, à la place du James Bond tout pourri :)...

Goupette - 15/20 (et un bon 18 à Tom Cruise qui est vraiment ultra formidable là-dedans !)

lundi 20 octobre 2008

Ciné : Blindness

Non Goupette n'est pas morte, elle renaît de ses cendres pour vous livrer une toute nouvelle critique ciné, en attendant 3 critiques livres et 1 critique voyage ! Car le ciné se consomme sur l'instant et que si je ne vous parle pas de ce film maintenant, il va disparaître de l'affiche et il sera trop tard...
Alors Blindness, l'affiche elle est jolie mas de quoi donc que ça parle ?
"Le pays est frappé par une épidémie de cécité qui se propage à une vitesse fulgurante. Les premiers contaminés sont mis en quarantaine dans un hôpital désaffecté où ils sont rapidement livrés à eux-mêmes, privés de tout repère. Ils devront faire face au besoin primitif de chacun : la volonté de survivre à n'importe quel prix. Seule une femme n'a pas été touchée par la " blancheur lumineuse ". Elle va les guider pour échapper aux instincts les plus vils et leur faire reprendre espoir en la condition humaine."

Ouais bon ben en lisant le résumé d'allociné, j'ai même pas trop envie d'aller le voir alors je vais plutôt en faire un moi même...
"Un chinois devient aveugle. Il se fait aider par un passant, qui ne tarde pas à devenir aveugle à son tour, consulte un ophtalmo qui lui aussi perd la vue, entraînant au passage toute la salle d'attente etc etc... Très vite l'épidémie se répand à une vitesse exponentielle et les autorités tentent de combattre la contamination en enfermant les citoyens atteints dans un asile desaffecté. Une femme, qui pourtant continue à voir, se laisse enfermer pour rester près de son mari. Très vite, les dortoirs de l'asile déborderont d'aveugles désorientés, livrés à eux même, prêts à tout pour survivre et l'horreur ne tardera pas à envahir les lieux, jusqu'à ce que..."
Inutile de vous dire que les 4/5 de l'intrigue se passant dans un vieil asile crado, l'ambiance du film est glauquissime, à tel point que je ne comprends pas que le film n'ait pas subi de restrictions d'âge... C'est une plongée au coeur des plus noirs sentiments humains, des réactions étranges et fragiles face au danger, à l'inconnu et à la peur. Un film sur la solitude et la solidarité, qui nous ecoeure et nous étonne, nous, seuls voyants de ce spectacle désolant...
La fin est sans intérêt, mais le film est fort et tient en haleine.
Dérangeant, barbare, cruel, animal, marquant... Blindness brille par son intensité, sans déverser aucune goutte de sang, une belle performance !
Goupette - 14/20

vendredi 10 octobre 2008

Cliente

Et oui, on ne choisit pas toujours les films que l'on va voir au cinéma. Je crois que dans un couple, ça s'appelle : une concession (ou un truc comme ça).
C'est donc avec un plaisir semi-forcé que je suis allé voir Cliente, le dernier film de Josianne Balasko qui nous compte la vie d'une femme, la cinquantaine séduisante, qui se paye des hommes pour coucher avec elle. Jusqu'au jour ou elle rencontre Patrick, un homme qui la séduit malgré lui en étant le premier à lui rabattre son caquet et en ayant un fond gentil, remplie de charme et de simplicité. Mais, voila, Patrick est en faite Marco, un gars qui fait ce métier en cachette pour pouvoir payer les traites du salon de coiffure de sa femme et qui maintien sa belle famille à flot. S'en vient là, un triangle amoureux dont vous ne connaîtrez la fin qu'en allant voir le film.
Cliente est une comédie dramatique, pas très "comédie". Il traite d'un sujet tabou avec assez de simplicité et de discernement. Les histoires d'amour s'entremêlent laissant transparaître la nature humaine des protagonistes qui pourrait faire débat. Le rythme n'est pas très élevé et le film tire un peu en longueur pour une fin légèrement bâclée comme malheureusement beaucoup trop de film français. Il faut cependant aimer le genre pour accrocher. Au final, un film mi-figue, mi-raisin qui laisse un arrière goût de bonne idée sous exploité, mais que l'on peut prendre aisément plaisir à regarder. Même si pour ce type de film, le cinéma n'est pas obligatoire.

Ma note : 11,5/20

Harcelés

Salut les gens. En ce moment de disette, je m'en vais vers vous pour vous faire la critique du dernier film de Samuel Jackson : "Harcelés".
Déjà, un topo, vite fait, mal fait : Un couple assouvi son rêve d'achat de villa (y'en a qu'on les moyens). Tout semble aller pour le mieux. Mais...(sinon on se ferait chier), leur voisin, un flic afro américain au allure de bon samaritain mais aux méthodes et au idéologies brutales désapprouve leur relation interraciale (ben ouai, il le gars est blanc et sa femme noire), du coup, il décide, comme disent les jeunes, de "leur faire la misère".
Alors que dire de ce film. Des thématiques peut abordés au cinéma : le racisme vu sous un regard différent, des problèmes de voisinage...
Un harcèlement qui va crescendo, une tension palpable, un bon Samuel L Jackon. Le tout forme un bon cocktail. Un bon thriller policier en soit, mais qui ne restera pas dans mon anal. La faute au manque de ce petit quelque chose qui fait que le film n'accroche pas tout le temps. De plus, une fin à mon humble avis, un peu tiré par les cheveux.
En bref, un bon petit thriller, sans réelle surprise, mais qui se laisse regarder.

Ma note : 12/20
Plus d'infos sur ce film

A venir :
Critique film : Cliente

mercredi 1 octobre 2008

Entre les Mures

En ce début de semaine je suis allez voir "Entre les murs", film primé au festival de Canne. J'étais partagé. Est ce un divertissement que d'aller voir un pseudo document au cinéma. Mais devant mes doutes et l'obstination farouche de ma moitié pour aller voir ce film, j'avais décider de franchir le pas.
Et là, je taperais un premier coup de gueule. Et ce, contre les UGC.
Début du film annoncé : 19h00.
Arrivé de Keil : 19h15 (pas con le Keil, il sait que les films commencent jamais à l'heure).
Commencement du film : 19h50
On a largement le temps de se faire c... Et même si le but est de remplir le plus possible la salle et de nous inonder de pubs, au final, ce n'est pas fait honneur au film car au commencement de ce dernier, la lassitude m'avait déjà largement gagné.
Bon, passons, le film commence. Et bien, oh grande surprise ! C'est l'une des premières fois que j'apprécie un film primé à Canne.
Le film nous fait partager le quotidien d'un professeur de français dans un collège difficile. Mais, là pas de super prof ou de dramaturgie excessive. Le jeu des comédiens est excellent. Ce n'est pas surjoué et on a vraiment l'impression d'assister à un documentaire vachement bien filmé. Le spectateur est immergé dans l'ambiance de ce collège à tel point qu'il m'est arrivé de sentir la pression que pouvait ressentir le protagoniste du film. Un bon film qui m'a laissé un arrière goût de malaise dans la bouche. En effet, en nous faisant partager le quotidien de ces profs qui oscille entre bon moment et mauvais, je me suis rendu compte que, a coup sur, je n'aurais jamais eu la patience qu'il faut avoir pour gérer certaines situations.

Bref, une très bonne surprise qu'au final, je ne regrette pas d'avoir vue.
Un très bon film, qui même si, il n'est pas nécessaire de voir au ciné, mérite quand même le coup d'oeil.

Ma note : 14/20

lundi 29 septembre 2008

Titre de la semaine


Cette semaine, un groupe assez inégal, capable du bon comme du moins bon. Mais qui reste appréciable malgré tous : Tue Loup. Aujourd'hui à l'écoute : "Le plan de Rome" du dernier album 'Le lac de Fisch". Bonne écoute (et si vous aimez, bonne achat).

mardi 23 septembre 2008

Titre de la semaine


Avec un peu de retard (qui à dit encore). Le titre de la semaine. Aujourd'hui, c'est Mansfield Tya (pas facile à écrire sans faute) que je vous présente. Pour la plupart, ça ne vous dira pas grand chose, mais bientôt, je ferais une petite critique de cet album, ma foi, fort sympatique.


Chuck

Retour de la critique série avec une très bonne surprise que j'ai eu la chance de voir en début d'année : Chuck. Véritable surprise pour moi, Chuck réussi à plaire avec une série qui au premier abord de paye pas de mine. Mais tout d'abord, Chuck, Kezaco ?
Employé dans une boutique de matériel informatique, Chuck Bartowski est propulsé du jour au lendemain dans le monde de l'espionnage, sa vie ennuyeuse laissant la place aux émotions fortes. Son cerveau renfermant, bien malgré lui, une base de données contenant des secrets gouvernementaux, la NSA et la CIA, soucieuses de protéger ces informations, envoient les agents John Casey et Sarah Walker pour veiller sur sa sécurité. Les informations qu'il détient nécessitent sa participation à de périlleuses missions, le confrontant à de multiples dangers. Tout ça sous le nez de son meilleur ami, Morgan, de sa soeur, Ellie, et de ses collègues de travail, qui ne se doutent de rien...
Bon je répète, le scénario au premier abord ne casse pas trois patte à un canard, mais voila, nous avons ici l'amalgame de l'originalité, de l'action, de l'humour et de la romance. Les personnages sont attachant. Le fil rouge de la série nous tiens en haleine. On ne s'ennuie presque jamais. Les rebondissements sont nombreux et même sans, les épisodes individuels se suffisent à eux même.
On se marre et on participe aisément à l'action de cette série drolement bien mené. Même l'histoire d'amour nous tiens en haleine, c'est dire. Une véritable petite surprise qui saura vous mener par le bout du nez tout au long de ses 13 épisodes qui composent la première saison. Donc je me répète, Chuck est une exellente série, peut être la meilleure que j'ai pu voir cette année.

A noter que la nouvelle saison débute sur la NBC à compter du 29 septembre et on attend vivement une traduction.
Alors, si ce n'est déjà fait, jetez vous sur cette série (en VOSTF s'il vous plait)

Ma note : 16,5/20

lundi 15 septembre 2008

Max la menace


Ha, Max la menace. Je me rappel encore de la série qui passait sur la cinq (ahhhh !!! la cinq, quelle merveilleuse chaîne). J'avoue qu'a l'époque, je ne comprenais pas toutes les subtilités de la série, mais la nostalgie me poussant au train, je suis allez voir cette adaptation cinématographique, même si je l'avoue, je ne suis pas un fan inconditionnel de Steve Carell. Le film commence, la musique d'intro déjà me titille les méninges et me rappel de bons souvenirs (ahhhh !!! la cinq !!!). L'histoire : Un administratif maladroit élu agent secret. Pas le sénario du siècle, mais tant pis, ce n'est pas ce que je suis venu voir. On retrouve dans le film certains éléments qui on fait la renommée de Max la menace : La cabine téléphonique, la chaussure téléphone et quelques menus gadgets. De plus certains comédiens qui me sont fort sympathique font une courte apparition comme Bill Muray. Ce qui me fait dire (ahhh !!! La cinq). Bref, qu'en est il du film. Et bien ce que l'on pouvait y attendre. Des gags, un peu d'action, un Steve Carell qui en fait pas des caisses comme dans Ewan tout puissant, qui rappelons le, est une daube sans nom (quoi qu'elle à un nom, vu que c'est une daube...A méditer et Ahhh !!!! La cinq !!!). On sait ce que l'on va voir donc, on ne peut pas être totalement déçu. Le film n'est pas hilarant, mais prête régulièrement à sourire. Le rythme est soutenu, mais si vous adhérez pas aux gags de Steve Carell, vous ne tarderez pas à sombrer dans les abîmes du sommeil comme la personne qui m'accompagnait.
Bref, un film sans prétention qui décevra peut être les aficionados de la série, mais qui fera passer un bon moment aux autres. Un film sympa, sans plus.

Ma note : 12/20

Musique de la semaine




Avec quelques heures de retard (pardon pompotte), la chanson de la semaine. Un titre bien rafraichissant qui me rappel les vacances. Snif...


lundi 8 septembre 2008

Jeux PC - Space Siege

Il existe des jeux qui se démarque pour pas grand chose. Space Siege en fait partie, car il avait réussi à susiter mon intéret par le simple fait que nous avions le droit à un RPG PC situé dans un univers assez atypique à savoir un monde de science fiction et de vaisseaux spatiaux en tout genre. Du moins, voila comment il me l'avait été vendu. Fini, les univers d'heroic fantasy médieval, vive l'espace. Cependant, il m'a fallu très peu de temps pour déchanter. J'instal le jeu et me pose souris en main et clavier à l'autre pret à en découdre. Première chose désagréable qui en rebutera plus d'un : la maniabilité. Ici, pas de controle au clavier, on dirige quasiment tout à la souris. On bouge, on tire, pas évident du tout. Même pour moi qui est terminé ce jeu, je n'ais jamais réussi à m'y faire. Dommage. Deuxio, même si au début, le scénario semble nous proposer quelque chose de consistant, il devient vite linéaire et on déambule à travers des couloirs en zigouillant tout ce qui bouge. Bien sur, ça défoule (quoi, qu'avec cette maniabilité), mais bon, on finit vite par s'ennuyer. Niveau graphisme, c'est pas bizance, d'autant que les couloirs son souvent répétitif. L'aspect RPG est juste passable. Upgrader ses armes, c'est marrant, mais bon, j'ai fini le jeu en utilisant quasiment toujours la même arme. Au final, le jeu s'apparente plutôt à un hack & slash qu'a un rpg. Regrétable. Pour finir, il reste le mode 2 joueurs que je n'ai malheureusemnt pas pu tester. Mais d'après certaines connaissances, il serait injouable sur un pc portable de bonne qualité donc à voir.

Au final, Space Siege, laisse un arrière gout de bof entre mes doigts et s'en tire tout juste avec une moyenne honorable.

Ma note : 11/20


A venir :
Critique série : Chuck

Musique de la semaine


Cette semaine, un autre de nos chanteurs français pas assez reconnu : Bertrand Betsh. Chanteur que je suis très heureux de vous présenter, car, moi, j'aime beaucoup. Alors, comme d'hab, si vous aimez, courrez acheter l'album.

vendredi 5 septembre 2008

Shaolin Basket


Fan de Stephen Chow, j'avais littéralement adoré Shaoling Soccer. Attention, je parle là de la version originale, pas de la version charcutée qui était arrivé dans nos salles de cinéma. C'est alors, plein d'entrain que je sui sallez voir Shaolin Basket (qui s'appelait initialement Kung fu Dunk, mais qui on ne sait par quel mystère marketing à changer de nom en arrivant chez nous). Je m'attendant à une version "basket" de shaoling soccer et ayant été séduit par la bande annonce, je me réjouissait de voir un film atypique comme trop peu sorte dans nos salles. Mais voilà, n'est pas Stephen Chow qui veut et c'est très rapidement que la débilité du film déçoit. Certes, le tout est assez bien réalisé, ça reste toujours aussi impressionnant, mais voilà bon. Là ou S.S s'avait nous divertir, S.B nous lasse avec un humour pataux. L'accroche ne se fait pas et on comprend très vite que l'on ne va regarder le film que pour les effets speciaux qui le parsèment. Bref, une grande déception tant on attendait mieux.

Ma note : 11/20
Plus d'infos sur ce film


A venir : Critique jeu : Space Siege

mardi 2 septembre 2008

Musique de la semaine

Cette semaine, c'est Emily Loizeau qui est à l'honneur avec "Je ne sais pas choisir"
Comme d'habitude, si vous aimez l'album, achetez le, si vous n'aimez pas, attendez la semaine prochaine pour voir si j'ai meilleur gout...:o)

PSP : Riviera - La terre promise

Salut à tous ex Juilletiste, ex Aoutien et ex pasdevacancesdutoutien...
Après un bref, repos, me revoilou parmi vous pour vous parler d'un petit jeu PSP que j'ai pu tester pour vous avant les vacances. Un ptit RPG traduit en français (ce qui est assez rare pour être souligné) : Riviera.
Passons l'historique de ce jeu (ex jeu GBA) pour aller directement à l'essentiel.
A l'époque, Crisis Core n'étant pas sortie et ayant marre des jeux non traduit, j'avais jeté mon dévolu sur Riviera. Les artworks du jeu avaient l'air fort sympathiques et c'est fort justement que je me disait que le nommé Keil (héro du jeu. Je sais, comme moi, c'est bizarre, parce que c'est moi qui lui est donné son nom). Je disais donc que Keil allait partager mes moments de solitude aux toilettes. Je prend mon stock le rouleau Pécul et j'annonce haut et fort la couleur. Qu'on ne me dérange plus, je vais sauver le monde des elfes. Je m'enferme à clef. A nous deux.
Premier constat, c'est pas si beau que ça. Certes, pendant les combats, lorsque l'on emploi les grosses attaques, on a un artwork sympa, mais c'est tout. Deuxième constatation, c'est linéaire à mourir. Aucune liberté. On ne va pas ou on veut et on à souvent droit à un choix qui se limite à gauche ou à droite. L'histoire est assez morne et au final, je me fais chier (sans jeu de mot...:o)
Je tiens bon. Par contre, ce qui ne m'accroche pas du tout, c'est le système dévolution. Pas de level up, pas niveau pour les combattants. Juste un système d'évolution des armes : Plus on utilise une arme, plus elle devient performante. En contrepartie, elle s'use à chaque utilisation, ce qui pousse à en changer régulièrement. Étant donné qu'on ne peux pas en acheter, il faut espérer tomber sur un coffre qui en propose une. Un peu fastidieux et pas très immersif.
Alors la question qu'on est en droit de se poser, c'est pourquoi, je suis aller au bout. Et ben je sais pas. Peut être l'histoire un peu simpliste ne me demandais pas trop de réflexion. Peut être ce jeu faisait-il bien office de bouche trou. Ou, peut être avais je mangé trop épicé. Tout ça pour dire, que si vous voulez investir dans un rpg, même old school, ne vous attardez pas trop sur Riviera au risque de vous ennuyez un peu. Je terminerai juste par une question que se posait un des testeurs dont j'ai lu la critique il y a quelques mois sur le net. Pourquoi avoir fait une adaptation de ce jeu GBA sur PSP, si c'était pour y apporter si peu d'innovation. Mystère.

Ma note : 10/20




A venir :
Critique : Kung-fu Basket & Space Siege

mardi 26 août 2008

The Dark Knight / Le chevalier noir

Bon allez, je m'y colle ! Devant le grand écart d'opinion entre certains de mes collaborateurs de blog et pour éviter les avis trop tranchés, je m'en vais vous faire la critique du dernier Batman la plus objective possible...

On commence par le picth, au cas ou vous auriez hiberné depuis quelques mois :

"Batman aborde une phase décisive de sa guerre au crime. Avec l'aide du lieutenant de police Jim Gordon et du procureur Harvey Dent, Batman entreprend de démanteler les dernières organisations criminelles qui infestent les rues de sa ville. L'association s'avère efficace, mais le trio se heurte bientôt à un nouveau génie du crime qui répand la terreur et le chaos dans Gotham : le Joker..."

Oui oui c'est pas très très compliqué, y a un méchant, un gentil, un mystérieux entre-deux et une femme fragile ouh la laaaaaaaaaaaa.
Points positifs :
- Les effets spéciaux sont assez bien faits, surtout le visage du procureur à la fin :)
- Morgan Freeman est top, mais il est top partout
- Ca bouge pas mal, il se passe beaucoup de trucs, c'est rythmé et divertissant
- Le joker est tout simplement fantastique (trop ?)
- Toute la psychologie du super-héros est assez bien traité, mettant même en avant ses états d'âme et ses faiblesses (trop peut être ?)
- L'ambiance est sombre et intense

Points négatifs :
- C'est looooooooong (2h27), malgré le rythme, les effets, le dynamisme etc, on trouve un peu le temps long, et on regrette même que l'histoire n'en finisse pas de rebondir
- Le Joker est si charismatique que Batman est un peu faiblard à côté, et nous ennuie un peu
- Katie Holmes ayant refusé le rôle, elle a été remplacé par une autre actrice, et c'est un peu dommage car du coup ça interpelle et ça gâche un peu la cohérence (en plus la nouvelle est moche donc l'histoire d'amour est moins interessante)
Voilà, au final c'est plutôt bien, mais c'est loin d'être le film de l'année, ne prenez pas trop attention à toutes les critiques ultra positives, vous risquez d'être déçus...
Goupette, qui note 13.5/20

mercredi 20 août 2008

Le bonbon qu'il est bon....

Prologue de Keil

Je m'en viens vers vous, aujourd'hui pour faire le prélude du petit article de Valou. J'ai eu la chance de visiter le musée du bonbon de Uzes (près de Montpellier) et arrivé la bas, une première chose m'a choqué. Une nué d'enfant parsemait la file d'attente. Et ça m'a permis de les examiner.
Nous attendons dans la queue, Val me toque et me montre du doigt, une mère qui pousse son enfant dans la file en l'houspillan d'un "Tu vas ou là, oh !!! mais reviens..." et elle continue à le pousser, dépassant ainsi allègrement tout le monde comme si de rien était, jusqu'à ce que quelqu'un arrive à la bloquer. Je retiens Val, qui n'a qu'une envie. Allez lui expliquer le sens de la queue. Plus loin, un groupe d'enfant joue sur une grand statue Haribo, tête en avant. Je regarde en me disant que si l'un glisse, c'est la mort assuré. Ou sont les parents, dans la file en train de tirer une tronche de 6 pieds de long car leurs enfants n'ont font qu'a leur tête. Plus loin, une petite fille se barre. Le père et la mère râle à outrance : "Viens, viens, je commence à en avoir marre !!!" La petite se retourne à peine. Si elle savait faire un doigt d'honneur, je suis sur qu'on n'y aurait eu droit.
Ouf, nous rentrons à l'accueil, une distribution de bonbon y est faite. Parents et enfants y plonge allègrement leurs petites mimines (vive les microbes), une petite fille se jète à terre et hurle car sa mère ne lui à pas pris les bons bonbons. La mère a honte et tente de relever sa fille qui hurle de nouveau et la tape. Sa mère finira par aller lui chercher les bonbons souhaités.
Une petite fille, mignone de surcroit est dans la queue avec ses parents. Une ptite fichtrement calme, reste à coté de sa mère. Aucun caprice, aucune crise. Lorsque nous arrivons à l'entrée, la foule et les autres petits enfants voraces, accoure comme une bande d'affamée devant un sac de riz. La petite est bousculée, dépassée. Elle recherche sa mère, qui ne la voit plus. Pendant ce temps, les autres petits morfales assouvisse leur plus bas instinct. Pauvre petite.
Tout ça pour dire, que même sans généraliser et même si je n'estime pas forcément faire mieux, l'éducation de certains enfants reste à revoir. Alors si vous vous retrouvez dans une de ces situations. Aïe, aïe...

Keil le gars qui rale (parfois)

Après la visite du musée de l'éducation passons au musée du bonbon.

Ce musée se situe à Uzés au dessus de Nîmes. Il est ouvert jusqu'à 19h mais fait des nocturnes en août. Attention voici la queue à l'entrée.

Le musée propose de montrer la fabrication des produits haribo. Cette marque fut fondée par un allemand.


Voici HA (Hans) RI (Riegel) BO (Boon) .... Haribo et ouai. L'entreprise démarre en 1920. Vous verrez une partie de l'usine de fabrication (toute petite la partie à voir). Sinon il y a des films, des affiches à lire, des objets publicitaires et des expos à toucher type cité des sciences pour les enfants. Une affluence record le jour de notre visite me fait un peu regretter la visite. Du monde partout ! On vous donne un petit jeton pour avoir un petit paquet de bonbons mais vu la queue immense devant la machine, nous repartons avec le jeton en poche. Le musée est tout petit et il y a beaucoup trop de monde avec peu de choses à voir.



Voici la petite usine des départs. C'est mignon, non ? Maintenant le groupe a 16 usines dans le monde.

L'entrée est à 6 euro par personne.



La farandole de bonbons La guimauve

Si tout cela vous a alléché voici le site ici. Vous pourrez peut être gagner votre poids en bonbons. Go....

A la fin de la visite... le top du top des gourmands : la boutique.
Des sacs de 2 kilos de gourmandises, des produits dérivés. Le paradis des gourmands si vous résistez à l'affluence écrasante.

Ma note : 12/20 je n'avais pas la ventoline pour respirer !

lundi 11 août 2008

Bonnes Vacances !!!


Bon les gens, ça devait arriver un jour, mais je dois partir en vacances. Ne pleurez pas, car il reste Goupette et Drawman et peut être les autres pour s'occuper de vous durant mes quelques jours d'absence. J'en profite quand même pour vous souhaiter de bonnes vacances. Et pour ceux qui ne partent pas. Je ne leur dirais qu'une seule chose : BIEN FAIT POUR VOUS, HAHAHAHAHAHAhehehe...euh...

Keil qui avait vraiment besoin de repos..

PS : A la demande de certains, je laisse Pauline Croze en écoute, jusqu'à mon retour. Bye.

vendredi 8 août 2008

8 raisons de craquer pour une Xbox en 2008


Je ne pensais pas un jour devoir faire l'avocat du diable, mais aujourd'hui en cherchant ce que je pourrais prochainement faire sur PS3, je suis rentré bredouille, ou plutôt brecouille comme on dit chez mes amis chasseurs. A part le traditionnel PES, j'ai pas forcement été excité. J'ai donc essayé de réitérer la même recherche pour XBOX 360. Et là en une demi heure la recherche à été beaucoup fructueuse. Ce qui me fait malheureusement penser que même si je sais qu'a long terme la PS3 reprendra du poil de la bête. En ce moment, c'est un canard boiteux qui trône sur mon petit meuble TV. Hier après une bonne discutions avec Sieur Drawman alias "microsoft je leur pète au nez et les enferme dans un caisson sans oxygène", il m'a laissé sous entendre que peut être, éventuellement, et hypothétiquement parlant, il se pourrait qu'il se laisse, si l'occasion se prononçait dans un cas extrême, peut être tenté par une XBOX360.
Voici donc une petite étude succincte, des raisons qui pourraientt l'inciter à passer le cap. Un petit panel des jeux à sortir en 2008 qui m'ont donné envie de craquer. Toutes les images sont liées au site Jeuxvidéo.com. Elles vous permettront d'en savoir plus.

8 raisons de craquer pour une XBOX 360

24 octobre 2008 : Fable 2 - Cliquez sur l'image


7 novembre 2008 : Gears of War 2 - Cliquez sur l'image


14 novembre 2008 : Mirror Edge - Cliquez sur l'image


4ème trimestre 2008 : Fallout 3 - Cliquez sur l'image


4ème trimestre 2008 : Far Cry 2 - Cliquez sur l'image


5 septembre 2008 : Infinite Undiscovery - Cliquez sur l'image


19 septembre 2008 aux Etats-Unis (et déjà sortie au japon) :
Tales of Vesperia - Cliquez sur l'image


Novembre 2008 : Sacred 2 - Cliquez sur l'image

Sans oublier les hits 2009, sur lesquels nous nous attarderons plus longuement le moment venu.
Prototype, FFXIII, Alan Wake...

La liste est personnelle et non exhaustive. En attendant elle permet de faire un petit horizon des futurs Hits XBOX de l'année 2008.

Keil, à vous les studios

jeudi 7 août 2008

Chagrin d'école de Pennac


Comment ça la rentrée arrive à grands pas ?

Cette année encore, ça va faire mal !

Savez-vous que monsieur Pennac, auteur illustre s'il en est, était un petit cancre. Ce genre de petit spécimen qui fait s'arracher les cheveux aux profs. Et oui Pennac était vraiment mauvais. Enfin c'est lui qui le dit parce que le coup du grand auteur qui ne sait pas lire, ça parait un peu douteux.


Pennac oscille ici entre les anecdotes sur ses souvenirs scolaires et des petits messages aux instits. Il rappelle l'importance des textes classiques qu'il fait apprendre par cœur à ses élèves. Et oui il était prof aussi ce bon monsieur. La récitation, ça vous rappelle de bons souvenirs?

Point positif. Il dit que même actuellement les jeunes ont la soif d'apprendre. Parlez-en à votre ado...

En tout cas, ce livre parle du ressenti des mauvais élèves et c'est assez rare. C'est intéressant.

Ma note : 13/20

Au fait, le mot "cancre" vient de "cancer" en latin qui signifie "crabe". Ce serait la démarche lente et maladroite des mauvais élèves.

mercredi 6 août 2008

L'accueil au Kenya , tendu ?


Une grosse bête envahit le blog pour vous dire "Karibu". Formule de politesse au Kenya. Elle sert à peu près à tout cette petite phrase.

Et ben les gens qui ont déserté le Kenya, ce beau pays , pour la Tanzanie après les événements ont eu une mauvaise idée.

Rappel des faits. Le président au pouvoir a truqué les élections et donc les ethnies voisines se sont rebellées. Mais au Kenya c'est pas la petite manif avec banderoles et tout...

C'est plus musclé. Il y a eu des morts. Les gens ont faim, et on sait que la faim pousse au meurtre..... Donc nous avons eu ce beau pays rien que pour nous. Les kenyans ont hâte de voir revenir les petits français. Tous les remous "c'est finit depuis longtemps" comme ils disent. Les français sont les plus angoissés pour revenir. Les allemands sont déjà là. Du coup une petite fleur sur l'oreiller chaque soir et beaucoup d'attentions pour nous.

La bouillotte prête dans votre lit ça vous dit?
Vous préférez la petite fleur?

Aucune raison de ne pas venir, l'accueil est impec.
Petite faveur pour les blondes: les kenyans sont ravis de voir les jolies blondes. Ils ne regardent même plus la route. Aie Attention....

Quoi que même les chinois. Certains demandaient des photos de nous.... hum Eux c'est surtout aussi les yeux bleus qui les envoutent. hi hi



La prochaine fois : Qu'est ce qu'on voit comme animaux au Kénya ?

mardi 5 août 2008

Wall-E

Le 30 juillet dernier sortait le dernier film d'animation des studios Pixar : Wall-E.
Si vous surfez ci et la sur la toile pour connaître les critiques de ce film (Bande de traître), il y a un mot que vous lirez souvent : "mignon". Car oui, c'est la première chose que l'on se dit au visionnage de ce film, "qu'est ce qu'il est mignnnnnoooonnnn ce ptit robot". Il dégage une palette de sentiments, le tout merveilleusement animé. L'aspect graphique de ce film quoique particulier reste une réussite et à l'avantage de s'accaparer un univers a soi. Quant à l'histoire, elle se déroule en deux parties : Sur terre et autre part (pour éviter de spoilier) et reste très appréciable. Contrairement à ce que l'on pourrait croire aux vues des BA, le rythme est soutenu. Et si on est pas hermétique à l'aspect "mignnnnnnoooonnnnon" des persos, on pourra se laissez facilement guider parmi les tribulations de Wall-E. Un film pour grand et moins grand. Par contre si la patte graphique ne vous dis rien et que vous n'avez que faire d'un robot aux yeux de biche (comme Val avec qui j'ai vu ce film) et bien vous risquez de vous ennuyez. Moi, j'ai adhéré, donc je note en conséquence.


Ma note : 14/20

PS : Petite pensé pour le petit merdeux qui était devant moi au ciné, qui n'a fait que parler pendant toute la séance et qui pour couronner le tout, à obligé son père 4 fois à l'accompagner au toilette. Si je te chope, je te coupe les c...

A VENIR :
Voyage : Kenya "accueil tendu ?" & Jeu PSP : Riviera

lundi 4 août 2008

The X-Files Regeneration


Oyé oyé les copinous, bloggeurs fidèles et avertis, me voici de retour avec la promesse de ne plus jamais vous abandonner si longtemps ! Et j'amène dans ma musette une critique du tout dernier Mulder et Scully dont je fus une fan de la première heure !
Oui j'ai tremblé devant l'épisode de Tooms avec yeux flippants, oui je me suis interrogée avec passion sur l'homme à la cigarette, j'ai enquété avec Fox sur les extras terrestres, les visions, les jumeaux bizarres, les esprits et autres phénomènes paranormaux, j'adoooooooooorais ça dans ma jeunesse !!! La perspective de les retrouver au cinéma 10 ans après un premier opus décevant était cependant trop tentante, et je m'en suis allée dans ma salle obscure préférée pour partager quelques heures avec mes 2 agents du FBI favoris...
Avant toute chose évidemment, leeeeeeeeeee piiiiiiiiiiiiiiitch !!!
"En plein milieu de la nuit, une employée du FBI est enlevée chez elle... Guidés par un ancien prêtre pédophile aux étranges visions, les agents Whitney et Drummy enquêtent. Très vite, leur investigation s'enlise : les indices sont minces et le temps presse. L'agence gouvernementale décide alors de refaire appel à Mulder et Scully. Leur expérience sur ce genre d'affaires sensibles pourrait s'avérer capitale. Mais des années ont passé depuis la fermeture du service des affaires non-résolues. Scully est redevenue médecin et Mulder, en disgrâce auprès du FBI, est introuvable..."
Bon alors je vais mettre directement fin au suspense en vous révèlant qu'on est loin du film de l'année, et même bien loin de la qualité de certains épisodes de la série... Pas que ce soit pas bien non, c'est juste assez linéaire, et quelque peu convenu.
Les acteurs ont très bien vieillis, leur relation est à mon sens bien traitée, l'enquête est interessante, bref on aurait tout pour faire un super film seulement voilà on reste avec un petit arrière goût de bof bof, ni bien, ni pas bien... Plutôt tout public et pas destiné aux fans de la série (dommage, à quoi ça sert d'être fan alors...), un film qui se regarde tout seul et qui s'oublie aussi vite que l'envie qu'on a eu envie de le voir...
Je crois qu'il y a mieux au ciné en ce moment...
Goupette - 12/20

dimanche 3 août 2008

L'incroyable Hulk


Cet été est très prolifique en film d'action et c'est au tour du géant vert de faire son come back dans nos salles obscures. Cette fois ci, c'est Edward Norton qui reprend le rôle de Hulk. Mais est ce suffisant pour rattraper un premier opus plus que décevant. Et bien oui et non. Oui, parce que ce Hulk a quand même plus de gueule que le précédent. Oui parce que les scènes d'actions sont quand même fichtrement bien foutues surtout le combat de fin qui en met plein la vue. Et non, à cause de certaines longueurs qui entache le film. Non parce que c'est conventionnel à mourir : un gros méchant de l'armée avare de pouvoir, une histoire d'amour très (trop) présente... Bref, un film mi figue-mi raisin (sec) qui déçoit un peu malgré son belle emballage. A noter aussi un sympathique clin d'oeuil à la fin pour les fans de l'univers marvel avec un mini cross over. Pour finir, je rajouterai juste que même si ce film reste amplement meilleur que le premier, L'incroyable Hulk, ne restera pas dans mon anal (oui, vive la finesse).

Ma note : 12/20


A VENIR :
Critique Film : Wall-E & X-Files Regeneration

samedi 2 août 2008

Wanted


Bien le bonjour, les gens. Aujourd'hui, inauguration du nouveau design blog avec une critique de la surprise cinématographique de cette semaine. Je dis surprise, car j'étais tellement persuader d'aller voir une grosse crotte infâme, que le contre coup, n'a été que plus éloquant. Lorsque j'ai su que Angelina Jolie jouait dans un nouveau film, mon premier réflexe à été de me dire. Bah, je l'aime pas, et puis si c'est un nouveau Tomb Raider (film ignoblisime par excellence) c'est pas la peine. Et puis devant l'insistance de sieur Drawman, me voila dans ma petite salle obscure pour visionner Wanted. Le début du film à l'air intéressant. On nous bombarde d'effets à la matrix, mais si on adhère,ça passe. Les scènes d'action s'enchaînent à vitesse grand V, et c'est pas pour me déplaire. Et puis viens le point fort de ce film. Je parle bien sur des rebondissements nombreux. On est surpris et on apprécie. Morgan Freeman et Angelina Jolie s'en sorte pas trop mal et au final, on a pas le temps de s'ennuyer. Et si (je dis bien si) vous voulez voir un film d'action un peu violent qui vous en met plein les mirettes et bien je vous le conseil vivement.

Ma note : 15/20


A VENIR :
L'incroyable Hulk

New look

Et voilà, tel le Beaujolais, le blog nouveau est arrivé. Au titre des nouveautés, et ben des nouvelles couleurs (wouah !!!), des dispo de rubriques différentes (wouah !!!), des musiques qui vont être peu à peu intégrées pour compléter les critiques musicales, des vidéos qui vont petit à petit être mise à jour (Beaucoup de liens morts) et pleins d'autres trucs nouveaux que vachement bien ils sont...:o)
Donc continuez à venir nombreux et n'hésitez pas à nous dire ce que vous en pensez. Je resterais à votre écoute.

dimanche 20 juillet 2008

Hancock


Un anti super héros. Il fallait y penser. L'idée est ingénieuse. Mais qu'en est-il du film ? Et bien ma foi, je l'attendais au tournant et je peux dire que je n'est pas trop été déçu. La réalisation est bonne et le scénario à au moins le mérite de provoquer quelques rebondissements bienvenues. A l'instar de plusieurs films de super héros, on s'attarde sur la psychologie du personnage, laissant un peu de coté ses actions de bon super héros. En effet on aurait aimé cette partie du film plus longue (car à part arrêtez une prise d'otage, il fait pas grand chose d'autre). L'humour est bien présent, et c'est assez couramment que Will Smith nous arrache un sourire des lèvres. L'action est néanmoins soutenu et on ne s'ennuie pas. Bref un bon film. Un petit bémol néanmoins. Je sais pas si c'est moi, mais j'ai trouvé le doublage assez pourri. Surtout celle d'Hancock. Mais néanmoins, ne boudons pas notre plaisir. Un film bien rafraichissant en cette période estivale.

Ma note : 14/20

jeudi 17 juillet 2008

Défi pas pour les nuls

Attention attention

On y va en vacances, ni en vélo, ni en camion.

euh la France ......

Il y fait chaud. ( ben non c'est pas la France alors)

On y danse au rythme des ngoma. ( des quoi...)

On peut s'y acheter un kikoi ou un kanga ( non pas tanga !)

Question 1 : Qu'est ce que c'est que cette chose à acheter..... ah ah

Question 2 : Mon pays de destination.....

Le gagnant ne gagne rien.... mais il est balèze...

Ps: Le gentil administrateur de notre site répondra à vos multiples réponses car moi je serai là-bas. Bonnes vacances .