mercredi 10 octobre 2007

Critique Japanimation : Eyeshield 21


Kikou les zamis. Bon aujourd'hui, une petite critique vite fait et rien que pour vous. Vous aimez le football américain, vous aimez la japanimation. Et bien Eyeshield 21 est fait pour vous. Bon, je vous fait vite fait les topos de la série via le site Animeka :

Kobayakawa Sena est un jeune lycéen comme tant d'autres. Nouvellement arrivé au Lycée Deimon après avoir fini le collège, sa timidité et son manque de courage lui jouent encore des mauvais tours. Victime de racket et de brimade de la part de ses aînés, son seul salut vient d'Anezaki Mamori, son amie d'enfance, qui ne cesse de le protéger. Mais Sena, qui ressent plus de l'étouffement que de la protection, est gêné par cette situation peu virile. Le destin va l'entendre et lui faire croiser la route de Youichi Hiruma et de Ryokan Kurita, deux membres (les deux seuls d'ailleurs) du club de football américain du lycée. Malgré sa piètre carrure, Sena se révèle être un sprinter formidable, surentraîné par des années de fuite, et se voit intégrer, sous la contrainte de Hiruma, l'équipe des Devil Bats.

Leur objectif, le christmas ball, un sorte de super finale de la mort. Mais pour cela, notre petit loulou, va devoir s'entraîner, apprendre le football américain et compter sur ses supers coéquipiers et néanmoins potos. Bon, c'est un bon animés de sport. Pour les puristes, il faudra faire l'impasse sur les quelques incohérences pour ce concentrer que sur les actions à gogo un peu suréaliste quand même. Mais au final, on se laisse vite entraîner par les péripéties et la progression de cette petite équipe des Deimos. Quelques critiques quand même, faire une série, sur une compétition, c'est vrai que si on fait pas gaffe, on a vite usé le filon. Du coup, pleins d'épisodes bouches trous viennent compléter le tout et au final on se surprend à attendre simplement les matchs et à vouloir faire l'impasse sur le reste. Bon, allez, ne boudons quand même pas notre plaisir. Si vous aimez les animés sportifs bien moraliste, avec des protagonistes qui vont toujours au delà de leur limite (wouah, ils sont fort les Japonais) et ben, essayez ce Eyeshield 21.

Ma note : 14/20

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