mercredi 20 août 2008

Le bonbon qu'il est bon....

Prologue de Keil

Je m'en viens vers vous, aujourd'hui pour faire le prélude du petit article de Valou. J'ai eu la chance de visiter le musée du bonbon de Uzes (près de Montpellier) et arrivé la bas, une première chose m'a choqué. Une nué d'enfant parsemait la file d'attente. Et ça m'a permis de les examiner.
Nous attendons dans la queue, Val me toque et me montre du doigt, une mère qui pousse son enfant dans la file en l'houspillan d'un "Tu vas ou là, oh !!! mais reviens..." et elle continue à le pousser, dépassant ainsi allègrement tout le monde comme si de rien était, jusqu'à ce que quelqu'un arrive à la bloquer. Je retiens Val, qui n'a qu'une envie. Allez lui expliquer le sens de la queue. Plus loin, un groupe d'enfant joue sur une grand statue Haribo, tête en avant. Je regarde en me disant que si l'un glisse, c'est la mort assuré. Ou sont les parents, dans la file en train de tirer une tronche de 6 pieds de long car leurs enfants n'ont font qu'a leur tête. Plus loin, une petite fille se barre. Le père et la mère râle à outrance : "Viens, viens, je commence à en avoir marre !!!" La petite se retourne à peine. Si elle savait faire un doigt d'honneur, je suis sur qu'on n'y aurait eu droit.
Ouf, nous rentrons à l'accueil, une distribution de bonbon y est faite. Parents et enfants y plonge allègrement leurs petites mimines (vive les microbes), une petite fille se jète à terre et hurle car sa mère ne lui à pas pris les bons bonbons. La mère a honte et tente de relever sa fille qui hurle de nouveau et la tape. Sa mère finira par aller lui chercher les bonbons souhaités.
Une petite fille, mignone de surcroit est dans la queue avec ses parents. Une ptite fichtrement calme, reste à coté de sa mère. Aucun caprice, aucune crise. Lorsque nous arrivons à l'entrée, la foule et les autres petits enfants voraces, accoure comme une bande d'affamée devant un sac de riz. La petite est bousculée, dépassée. Elle recherche sa mère, qui ne la voit plus. Pendant ce temps, les autres petits morfales assouvisse leur plus bas instinct. Pauvre petite.
Tout ça pour dire, que même sans généraliser et même si je n'estime pas forcément faire mieux, l'éducation de certains enfants reste à revoir. Alors si vous vous retrouvez dans une de ces situations. Aïe, aïe...

Keil le gars qui rale (parfois)

Après la visite du musée de l'éducation passons au musée du bonbon.

Ce musée se situe à Uzés au dessus de Nîmes. Il est ouvert jusqu'à 19h mais fait des nocturnes en août. Attention voici la queue à l'entrée.

Le musée propose de montrer la fabrication des produits haribo. Cette marque fut fondée par un allemand.


Voici HA (Hans) RI (Riegel) BO (Boon) .... Haribo et ouai. L'entreprise démarre en 1920. Vous verrez une partie de l'usine de fabrication (toute petite la partie à voir). Sinon il y a des films, des affiches à lire, des objets publicitaires et des expos à toucher type cité des sciences pour les enfants. Une affluence record le jour de notre visite me fait un peu regretter la visite. Du monde partout ! On vous donne un petit jeton pour avoir un petit paquet de bonbons mais vu la queue immense devant la machine, nous repartons avec le jeton en poche. Le musée est tout petit et il y a beaucoup trop de monde avec peu de choses à voir.



Voici la petite usine des départs. C'est mignon, non ? Maintenant le groupe a 16 usines dans le monde.

L'entrée est à 6 euro par personne.



La farandole de bonbons La guimauve

Si tout cela vous a alléché voici le site ici. Vous pourrez peut être gagner votre poids en bonbons. Go....

A la fin de la visite... le top du top des gourmands : la boutique.
Des sacs de 2 kilos de gourmandises, des produits dérivés. Le paradis des gourmands si vous résistez à l'affluence écrasante.

Ma note : 12/20 je n'avais pas la ventoline pour respirer !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

j'ai deja fait ce musée et ce que je préfere c'est la possibilité d'acheter les bonbons à la fin!

Anonyme a dit…

C'est pas les enfants qu'il faut blamer, c'est plutot les parents. Bref, ça a l'air quand même bien mais trop loin de chez moi.